mardi 26 avril 2011

Spring break (ter)

La semaine dernière j'ai découvert avec délice le monde du tambour africain (djembé), lors d'un stage de quatre après-midis organisé par la MJC locale. J'avais quelques appréhensions, pensant me retrouver avec des ados fringants, réactifs et vifs qui s'impatienteraient des lenteurs et des hésitations de vieilles dans mon genre. Ma collègue Véronique s'était elle aussi inscrite, et je savais donc que je ne serais pas la seule. Et puis finalement nous nous sommes retrouvées entre femmes entre 35 et 65 ans, sous l'égide d'un charmant professeur à la patience d'ange, et tellement passionné par sa mission qu'il était toujours prêt à prolonger les séances.

Thankfully, there was no recording of our efforts, and they sounded dreadfully amateurish, but it was so pleasant to drum away together that I have decided to take up the activity next year, and buy myself a drum. I'm sure the neighbours will be delighted!.

lundi 25 avril 2011

Spring break (bis)

Another great thing about the school break is we can catch up with some of the films we don't find the time for during term time.
And so we went to see an amazing Iranian film by woman director Shirin Neshat "Women without men".  There is no real "story", the four main characters  are constantly crossing an invisible border between dream and reality, the photography is absolutely magnificent, the soundtrack too, rich and precise, down to the gritty muezzin's call that opens the movie. You might find the visual quotations a little heavy-handed at times, but it is a truly moving work, thanks to, or in spite of its aesthetics.

samedi 23 avril 2011

Spring break

Plus d'un mois sans rien dire, le nez dans le guidon, des semaines que j'ai l'impression d'avoir passé à décorer de rouge des rames de copies d'élèves, en négligeant certes quelques tâches domestiques, mais sans me priver totalement du réconfort cathartique des aiguilles.
Et voici donc les réalisations des dernières semaines:
Un châle en alpaga doux et tendre, d'une couleur subtile et d'une forme originale (comme son nom): l'herbivore.
 Et puis pour attendre des journées moins grises et plus chaudes, un petit haut "hot", en Kilim de Plassard, un coton tellement vintage qu'on n'en trouve plus trace sur Ravelry, chiné aux Puces des couturières de Saint-Canadet en octobre dernier. Le modèle est une merveille d'adaptabilité, on le tricote par morceaux, sans coutures, sans échantillon, et sans angoisse, comme son nom (ANGST) ne l'indique pas.


Et puis il ne faut pas oublier de battre le rappel pour le festival "le lot et la laine" organisé les 9 et 10 juillet par Myrtille et ses copines. On y attend des pointures! et tous les détails sont ici.